EDEN13

DE TOUT DE RIEN

Vendredi 21 février 2014 à 15:22

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Nous savons tous ce que signifie ressentir de la souffrance (dukkha). Quand nous éprouvons déception, regret, anxiété, envie ou jalousie,
nous sommes conscients de nos souillures.


Et nous avons tous éprouvé la peur, que se soit la peur de la mort (la nôtre ou celle d'un proche), la peur de ne pas être aimé,
apprécié ou accepté, la peur de ne pas atteindre ses objectifs, ou encore la peur de se ridiculiser...

Mais nous pouvons également ressentir l'opposé de ces trois états ; les graines sont en germe en nous, sinon l'Eveil serait un mythe.
Il nous est possible de ressentir des moments de joie, de pureté et de paix.


Lors d'une concentration méditative profonde, on peut connaître une absence momentanée de dukkha : il n'y a que ce point de concentration ; aucune souillure ne peut pénétrer l'esprit car celui-ci est occupé ailleurs et il peut soit être souillé, soit être concentré —
ce qui est merveilleux même si cela ne dure qu'un moment ; enfin il ne peut pas y avoir de peur car tout est bien à un tel moment.


Plus nous sommes capables de générer de tels moments de joie, de pureté et de paix, plus ils deviennent partie de nous-mêmes
et nous pouvons les retrouver à volonté...

Ayya Khema.

 

Vendredi 21 février 2014 à 15:16

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Vendredi 21 février 2014 à 14:54

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Elle passe son temps,

assise sur ses nuages Pensante,

rêvassant a son petit monde

Fait de tendresse et de douceur.

Son univers de coton

Réchauffer par les rayons du soleil

La berce dans ses pensées

Lui offrant ainsi une vue idyllique

Elle aime sautiller de nuages en nuages

Essayant de décrocher les étoiles

Pour les déposer dans le cœur de ses amis (es).

Elle voudrait leur offrir des rayons de soleil

Par milliers pour réchauffer leurs blessures

Elle se hausse sur la pointe des pieds

Au risque de tomber,

mais peu importe Elle n’a pas peur,

elle est heureuse

Elle rêve…


 

Vendredi 21 février 2014 à 13:26


Harmonie du soir

Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !

Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !

Vendredi 21 février 2014 à 13:20


Le coucher du soleil romantique

Que le soleil est beau quand tout frais il se lève,
Comme une explosion nous lançant son bonjour !
- Bienheureux celui-là qui peut avec amour
Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve !

Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon,
Se pâmer sous son oeil comme un coeur qui palpite...
- Courons vers l'horizon, il est tard, courons vite,
Pour attraper au moins un oblique rayon !

Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire ;
L'irrésistible Nuit établit son empire,
Noire, humide, funeste et pleine de frissons ;

Une odeur de tombeau dans les ténèbres nage,
Et mon pied peureux froisse, au bord du marécage,
Des crapauds imprévus et de froids limaçons.

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